Il faut imaginer Leonard Cohen, costume froissé, regard d’encre, psalmodiant ses poèmes comme on murmure à l’oreille d’un fantôme.
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:: Leonard Cohen, l’obsession lucide
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Il faut imaginer Leonard Cohen, costume froissé, regard d’encre, psalmodiant ses poèmes comme on murmure à l’oreille d’un fantôme.